Cette histoire commença il y a pas moins de 30 minutes, au beau milieu d’un lieu connu de personne, dans la cave d’une vielle bâtisse de la nation de Brâkmar, acheté par un mendiant borgne et joufflu il y a plus de trente ans, au fond de celle-ci se trouvait une salle noire, avec des sièges noires, des tables noires et même des torches noires, quelle noirceur… Un homme était assis au milieu de la cave sur un trône ornée de d’ossement de Mulou. Il était vêtu d’une armure de carbone et porté une couronne sur sa tête. Devant et derrière le trône se trouvé deux portes une de petite taille et sans attribut particulier et l’autre de taille moyenne avec des poignés faite d’os de bouftou sauvages. Par la plus petite porte, un homme, de petite taille et couvert de haillon, entra et se dirigea vers le trône, il se mit sur la pointes des pieds et chuchota à l’oreille de son maître :
« On l’a trouvé monsieur.
Le maître, puisqu’il faut le désigné par un terme particulier, se redressa doucement sur son siège, soupira lentement, puis souri d’une façon maléfique et dit :
- Excellent, amenez le moi. »
Le petit homme courra alors vers la porte où il était entré et sortie précipitamment de la salle. Le maître attendit pendant plusieurs minutes en répétant dans sa tête : « Il arrive, enfin je vais pouvoir prendre ma revanche sur cet être. » Cinq minutes après que le petit homme soit partit un bruit se fit entendre et le maître se leva lentement en fixant la porte se trouvant en face de lui. La porte s’ouvrit doucement et laissa passer trois hommes, deux de ces hommes tenaient fermement le troisième par les bras, celui-ci avait aussi les yeux bandés et les mains attachés dans le dos, il fut amené au niveau d’une chaise juste en face d’une table et du maître. On le fit s’assoir et on lui enleva son bandeau. L’homme regarda alors autour de lui puis posa son regard sur le maître. Un frisson de terreur parcourut son corps lorsqu’il vu cet être de plus de deux mètres de haut le regardant avec un regard noir. L’homme était tétanisé par la peur lorsque le maître s’assit en face de lui, le regarda dans les yeux et lui dit :
« Sais-tu, qui je suis ? »
Le prisonnier se savant que répondre, car il ne connaissait pas le maître et ne voulait pas le connaitre, bafouilla dans sa barbe des termes incompréhensibles. Le maître ne s’énerva pas de cette réponse, il ricana juste et dit :
« Je suis le Grand, le Puissant, le Magnifique Kanaho, le chef de la guilde « L’Ordre des Boulets », et toi tu n’es rien d’autre qu’un tofu maladif face à moi, mais tu m’intéresse quelques peu alors je te fais l’immense honneur de te présenté à moi. Qui es-tu ?
- Je… je… je suis Aoryane, et je ne suis rien d’autre qu’un pauvre Sacrieur de la nation de Sufokia, balbutia Aoryane, que me voulait-vous ?
- Moi ? Je ne te veux aucun mal, je ne veux que ton bien. Tu as des informations sur quelqu’un qui pourrait m’intéresser. Connais-tu quelqu’un avec qui tu tiens de très bonne relation ? Quelqu’un qui ne se trouve pas dans ce monde, mais dans le deuxième monde, là où tous ce qui était sauvage à presque disparut ?
- Je ne connais personne, je suis seul, toujours seul, même en métrisant l’élément Terre je ne peux même pas battre un simple bouftou sauvage. Alors je ne vois vraiment pas pourquoi un être d’un autre monde deviendrait ami avec moi.
- Humm, ainsi tu ne veux pas parler, Kanaho soupira et sortit un couteau de sous la table, il faut donc employer la manière forte.
-Qu’est-ce que… qu’aller vous faire avec ça ?
Kanaho se tourne vers les deux hommes et leur dit :
- Sortez, ça va prendre un peu de temps avant qu’il ne se souvienne de ce que je lui demande.
Les hommes sortirent laissant Kanaho, se rapprochant doucement d’un Aoryane pleurant et se tortillant pour essayer de s’échapper en contournant la table. Kanaho leva le couteau lorsqu’ils e trouva juste à coté de Aoryane, mais celui hurla de terreur et dans un souffle il dit :
« Attendez, je me rappelle ce que vous me demandé.
Kanaho arrêta son geste et redemanda :
- Alors qui est cet être de l’autre monde ?
- Il s’agit d’un adolescent de 17 ans, du nom d’Erwan Dole, il étudie dans le lycée Roland Garros sur l’île de la Réunion il est en Terminale S, il peut venir me voir tous les jours après ses heures de cours et les week-end. Il a bien voulut se lier d’amitié avec moi, il m’a entrainé, il m’a permit de gagner de l’expérience, il m’a même permit de rencontré des amis loyaux avec moi, une Cra maitrisant l’élément feu, Feudorée, et un Sacrieur maitrisant également l’élément feu, Gelaw, il m’a également permit d’avoir un disciple, une petite Eniripsa qui à presque le même nom que moi, Aoryne, et qui essaye de maitrisé l’élément eau. Qu’est-ce que vous lui voulez ? Laisser tranquille !
Kanaho rit et demanda :
- Dit moi, veux tu rentrer dans une guilde ?
Aoryane leva les yeux et répondit :
- Bien sur !
- Pour quel raisons ?
Aoryane respira longuement comme pour reprendre son souffle, et dit :
- Une guilde, ça permet plusieurs choses, cela sert à trouver plus facilement un groupe pour gagner de l’expérience, ou cela sert à trouver plus facilement un artisan capable de construire ou de récolter un objet pour vous, mais ça ce n’est rien comparer à la véritable utilité d’une guilde. C’est un endroit où des gens s’entraident, s’aide mutuellement dans la bonne humeur et dans la joie. Il n’y que très rarement des problèmes au sein d’une guilde, mais si ça arrive on peut se dire que cela se passe comme dans les histoires d’amour dans un couple, il y a des hauts mais aussi des bas pour mieux remonter vers les bons moments. Alors je réponds à votre question ainsi, oui je voudrais avoir une guilde, pas juste pour monter mon niveau mais surtout pour avoir une joie en parcourant le monde avec des amis qui me sont chères au cœur. »
Kanaho ne dit rien pendant quelques secondes, regardant le visage déterminer d’Aoryane, puis sourit se retourna et se dirigea vers son trône. Là, il se pencha et activa un levier caché sous celui-ci. Le trône bascula en arrière laissant apparaitre une phrase : « On avance plus vite avec un boulet au pied qu'avec une chaussure trouée ». Kanaho se retourna et annonça à Aoryane :
« Cette phrase est le pilier de notre guilde, es-tu déterminé Aoryane ?
- Je le suis depuis que je suis nés !
- Alors à partir de maintenant tu fais partit de la guilde de « L’Ordre des Boulets », soit en digne, maintenant part, je t’enverrais un message pour notre prochaine réunion. »
Kanaho se dirigea vers la petite porte et partit. Aoryane était plus qu’heureux d’avoir été accepté dans une guilde aussi prestigieuse, mais sa joie tourna court car il remarqua qu’il était toujours attaché et qu’il était seul.
« AU SECOURS, hurla alors Aoryane. »
Cette histoire est finit mais une autre pourra commencer très bientôt, mais cette fois, ce sera avec vous !
Cordialement, Aoryane Sacrieur niveau 73