YeZiiR Candidature [Refusé]

Age : 19 ans je suis actuellement en bac pro CFA Cuisine mes a cause d'un différent avec mon patron j'ai quitter l'entreprise je suis a la recherche d'un nouveau patron. je suis très aimable, je ne parle pas mal, je respecte les autres,

Disponibilité :. Tous les jours en se moment le temps que je retrouve un patron ^^

Prénom (optionnel) : Jeremy ou Jordan comme vous voudrez

Localisation (optionnel) : Paris

Votre Histoire

Vous et le jeu

Pseudonyme: YeZiiR

Classe : Iop terre lvl 105 (bonta)

Reroll :ma mule s'appelle Xerone, un xelor de lvl 71 Feu (amakna)

Vos anciennes guildes : donc dans mes ancienne guilde il y a les skull and bones et brise noob pour terminé (est une autres guilde que je ne citerais pas dans mes ancienne guilde parce-que c'est la ou je me suis fais arnaqué je vais vous expliquer sa plus bas...)

Pourquoi avoir quitté votre dernière guilde : j'ai quitter la skull and bones parce qu'il y avait pas d'ambiance, pas d'entraide et de solidarité personne de connecté manque de sortie Donjon , Xp, Pvp j'ai eux beau leurs proposer des sortie ils reste de leurs coté donc voila sa ma saouler et j'ai quitter, mes ils sont sympa . Les brise noob je les et quitté parce-que depuis diablo 3 la guilde c'est dissous.

Vos motivations a nous rejoindre, pourquoi nous ? : je cherche a rentré dans votre guilde car je cherche une guilde avec de l'ambiance, de l'entraide, et de la bonne humeur je vous vois souvent a L'HDV de faubourg vous avait l'air de vous amusez et sa donne envie de évoluer a vos coté . A se que j'ai pue voir et se que l'on ma dit, c'est tous se que je recherche dans votre guilde.
Je connais déjà Maximilyan, et j'ai quelque fois pvp avec lui mes ont avait perdu lol

Mon but est donc de devenir un bon membre de votre guilde présent , aidé les personnes qui en n'ont besoin, je tient juste a dire que je vend rien je donne si j'ai pas besoin d'un item. Je suis a votre disposition pour de l'aide en cas d'agression , récolte et Donjon... Voila donc j'accepte Votre charte je suis moi au aussi zinzin (boulet) est j'aime beaucoup votre manière d'être . La motivation est là.
Je possède également : TS, mumble mes chez moi c'est souvent le carnaval donc je me connecterais, mes il y a des fois ou je couperais mon micro.



Mon histoire ?!!
Vous voulez la savoirs prépare un coussin sa va être long...

Il étais une fois un Osa de la V1(Pour les Inculte "Premiers de Wakfu") lvl50 le max a l'époque ,
Tidix étais très courtiser par sa force et sont courage vécurent dénombrable épopée dans l'univers WAKFU.
se fut de courte durée a cause Zédrun qui provoqué la RAZ V2...
La V2?!! j'y jouaient pas beaucoup du a la nullité de cette version par la suite je me suis adapté a se nouveau game play , ensuite j'ai quand même voulu testé cette version donc j'ai commencé plusieurs perso: Sadida, Sram (Sadow The Killer), Iop ( Boule), Osa (Mon préféré avant Tidix).
J'ai étais dégouté a nouveau par une nouvelle RAZ qui annoncé la V3...
J'ai longuement réfléchis sur quel classe en qui je voulais incarnée mon personnage , J'ai trouvé !!!
se fut un Iop (boule de feu , Stratège mes qui était AIR pour tromper les âme errante , qui se dressent devant mon passage).
J'étais très connu...Qui le sait ? toujours '-'... par ma découverte du bug Kamas...
Vue que j'étais riche je donner des kamas a tous se qui me demander... en y pensent j'ai étais membre superbe actif de la guilde Bushido'X Dans la V3...Et je leurs fournissez des kamas donc tous se passer bien pour nous jusqu'aux jour je fis faire confiance a un ami de la guilde je lui prêter mon compte pour qu'il prenne des kamas peu a peu la guilde se vidé nous étions plus que 9 dans la guilde et un jour je me suis connecter sur mon compte est il me manquer des item je me suis disputer avec lui et même pas 5min après je me suis fais
déconnecter, j'ai eu beau essayer de me reconnecte sa ne marché pas je mettais fais voler mon compte ...En gros j'était trop bon trop con (désoler pour le langage utilisé )


Le premier sang sur les main de mon iop

Il est une légende qui dit que, avant sa naissance, le nourrisson connaît tout des mystères de l’univers. Lorsqu’il vient au monde, un ange passe et d’un geste efface ces connaissances pour que jamais ne soient révélés les secrets de la création.
C'est pour cela que, si vaste que soit votre mémoire, vos premiers instants et les quelques années qui en suivirent vous resteront à jamais cachés. Et pourtant, c’est pendant cette courte durée qu’est le début de votre vie que tout se joue…

Je m’appelle YeZiiR, et je suis né à Bonta ; fils unique d’une famille aisée de iops. Ma mère était une éleveuse particulièrement douée surnommée « la iopette qui parlait à l’oreille des dragodinde » ; mon père était un haut stratège des armées de Bonta.
Je me révélai être un disciple de iop plutôt tôt ; il pouvait difficilement en être autrement avec un père et une mère comme les miens.

J’allai à l’école élémentaire réservée aux membres de notre classe et, bizarrement, du moins pour un iop, j’éprouvai une forte affinité avec des matières comme les mathématiques ou la stratégie — alors enseignée par un maître sram, l’un des seuls à être bontarien.

Ma mère était fière que je relève le niveau intellectuel de notre classe qui, pour ainsi dire — mais ce n’est pas une nouveauté — était extrêmement bas ; mais mon père ne voyait pas les choses de cette façon et, pour lui, un iop se devait de foncer en première ligne, taper sans se poser de question et, surtout, sans réfléchir.

Pourtant, malgré les nombreuses corrections qu’il ne manquât pas de m’infliger, je ne changeai pas d’orientation et, mieux, je persistai dans ma voie ; toujours plus porté sur le débat que sur le combat, je préférais toujours régler un différend par des arguments raisonnés que par des coups puisque j’étais persuadé que, n’étant pas familier du combat — et malgré mes stratégies qui, à cet âge encore juvénile n’étaient pas très développées —, je serais irrémédiablement vaincu.

Mais, et en particulier chez les iops, il existe une tendance naturelle à revenir vers la violence ; je ne sais d’ailleurs si je dois m’étonner ou me féliciter d’avoir pu tenir jusqu’à ce jour où j’avais cinq ans et où tout a basculé.

En cours de stratégie, justement, je décidai — avec l’accord de notre professeur — de m’opposer à la tactique communément adoptée par les iops, à savoir : foncer dans le tas et réfléchir après — voire pas du tout.

Bien sûr, je fus hué mais j’en avais l’habitude ; j’étais un solitaire, déjà rejeté de toute part, même par mon propre père.
Mais un jeune iop, peut-être un peu plus impulsif et méprisant que les autres me dit :
— Tu te conduis comme une sale tapette de crâ. Ça doit être de famille, pas étonnant que ta mère élève des montures et que ton père reste à l’arrière à gueuler sans jamais participer au combat.

Très calme, je lui répondis en citant des exploits connus de tous et attribués à mon cher paternel et j’osai lui dire que, vu le niveau hiérarchique du sien, il aurait mieux fait de la fermer — oui, je peux devenir vulgaire lorsque l’on m’agace.

Ce ne fut certainement pas la meilleure idée de ma vie puisque — comme on aurait pu s’en douter — il me provoqua aussitôt en duel, chose que j’étais jusqu’alors parvenu à éviter.
Je savais que je ne pourrais me défiler aussi me suis-je préparé à subir une cuisante défaite mais à me battre à mort s’il le fallait car telle était l’honneur de ma classe.
Ce fut un massacre.

La réalité c’est que, dopé par l’adrénaline, mon esprit fonctionnait à une vitesse dix fois supérieure à sa vitesse normale. Mais c’était loin d’être suffisant. Mes vaines tentatives pour reprendre l’avantage, aidé de mon intelligence hors du commun des iops, étaient contrées par les coups de mon adversaire, précis, puissants, douloureux… pour mon corps, oui, mais surtout pour mon cœur.

Un direct dans le visage me fit tituber tandis qu’un dernier coup de pied circulaire dans l’aine me fit m’effondrer sur le sable blanc devenu rouge du champ de bataille.
Je n’étais alors plus qu’une plaie infiniment douloureuse mais pourtant, ce n’était pas mon corps qui me faisait le plus mal, mais bien l’intérieur de mon être qui me brûlait comme un millier de bûchers qui grandissent, grossissent et détruisent tout sur leur passage.

Aussi étrange que cela puisse paraître, j’eus alors l’impression d’entrer dans un état second : je ne sentais plus les douleurs de mon enveloppe corporelle et celles de mon âme se réduisaient à vue d’œil.

Je me levai une nouvelle fois pour faire face à mon adversaire et son sourire goguenard, apparemment surpris que la leçon ne m’ait pas suffi.
Je sentis mon âme s’élever haut dans le ciel ; cette sensation étrange de n’être relié à mon corps que par quelques fils qui me permettaient de le contrôler à distance ; cette émotion unique que l’on ressent lorsque l’on voit à travers ses yeux, que l’on respire à travers son nez mais que l’on se sent, que l’on se sait ailleurs.
J’ai fermé les yeux et poursuivi mon ascension dans le ciel jusqu’à arriver à une altitude qui semblait convenir ; comment ai-je pu le déterminer ? Je l’ignore.
Alors j’ai ré-ouvert les yeux, et tout avait changé. Je me tenais désormais seul dans une immense plaine désolée, armé d’une épée fine et légère, visiblement plus âgé et faisait face à un monstre gigantesque doté de cornes affutées.

Et pourtant, rien ne me parut déplacé et je m’élançai dans le combat comme si j’avais fait cela toute ma vie. La bataille fut rude et équitable. Je récoltai de nombreuses coupures en portant moi-même quelques coups bien placés.

Tous deux hors d’haleine, nous nous fîmes face. Ce serait le dernier assaut, nous le savions tous les deux. Nous nous précipitâmes l’un sur l’autre dans un concert de cris guerriers et, oubliant tout de cette stratégie dont j’étais si fier, à la faveur d’une ouverture favorable, je fichai la lame de ma rapière dans le corps de mon ennemi.

Alors, le décor se brouilla et, une nouvelle fois, j’ouvris les yeux. J’avais à nouveau cinq ans et me trouvais entouré d’un cercle de iops de mon âge, visiblement éberlués par ce à quoi ils venaient d’assister. J’avais un couteau à la main et je pouvais distinguer une forme sombre, allongée sur le sol.
Je reconnus là mon adversaire, couché à terre, immobile, un trou rouge au niveau du cœur...YeZiiR a fait son premier sang Fin ^^

et pour toute question je suis a votre disposition


j’espère que m'a candidature vous a plus et je souhaite vous revoir très prochainement dans la guilde ^^.

Welcome and good luck !

Bienvenue et bonne chance !

Désolé mais ton rp est un copier/coller de celle d'une autre personne. Je ne tolère pas ce genre de pratique et tu es donc refusé.

Je t'invite néanmoins à en faire un toi même et à re-postuler le mois prochain.

a quel moment c'est du copier/coller ?

Partout.

Spoiler: